Pour l’instant, la lecture d’un graphique du fret représenté par le Baltic Dry Index (voir Wikipedia pour s’informer) ne permet pas d’affirmer qu’une reprise est encours. La hausse des cours du pétrole n’est pas validée par celle du gaz. L’évolution récente des contrats de taux longs ne permet pas de remettre en cause leur tendance baissière à long terme (hausse des taux cash). Cela va peser sur l’immobilier. Espérons que les indices boursiers n’auront pas l’idée (bonne ou mauvaise, c’est selon), d’ici la mi-octobre, de s’orienter à la baisse…