Archives mensuelles : mai 2015

Analyse technique : l’analyse de la volatilité ne vous concerne pas?

Depuis 1993 Philippe Cahen, créateur de l’ATDMF, proclame le contraire. Ce n’est pas une fois au détour d’un article que le sujet a été évoqué mais régulièrement dans nos différentes conférences, dans l’ensemble des ouvrages sur l’ATDMF ainsi que dans divers articles parus dans des magazines.

lisez :

Le Monde.fr: La finance à la vitesse de la lumière

et regardez (en entier) :

http://lekiosqueauxcanards.com/2015/05/video-les-nouveaux-loups-de-wall-street.html

Une conclusion s’impose : le trading haute fréquence(THF) a réussi une OPA sur les marchés financiers. Vous pouvez toujours chercher un article, publié depuis deux ans, qui dise le contraire : vous n’en trouverez pas. Il faut donc se rendre à l’évidence : le moteur du succès du THF, la hausse de la volatilité, va prendre de plus en plus d’importance dans les prochaines années.

Actuellement, faire de l’analyse technique sans tenir compte de la volatilité c’est vouloir guérir un cancer déclaré avec un tube de comprimés d’Aspirine.

Répétons une idée qui n’a pourtant pas le vent en poupe : il n’existe qu’un seul marché (pas un pour les professionnels et un autre pour les particuliers). Pour réaliser des plus-values, les particuliers doivent utiliser les mêmes armes que les professionnels.

Vous pouvez légitimement vous poser la question : pourquoi les analystes techniques ne parlent jamais de l’importance de la volatilité? La réponse se trouve dans le film et l’article en références : la volatilité est une affaire de mathématiques.

Il suffit de voir les CV de la quasi totalité des analystes techniques pour se rendre compte que la notion de volatilité ne peut que les dépasser. Ils sont donc incapables d’expliquer l’importance de la volatilité ni de proposer des indicateurs qui permettent d’anticiper le comportement de la volatilité. Si vous avez un doute, posez-vous la question suivante : pourquoi rabâchent-ils, plus ou moins maladroitement, des idées développées dans des ouvrages anglo-saxons qui datent du début des années 80?

 

En 1993, Philippe Cahen (Ingénieur CNAM) propose un premier outil d’analyse et d’anticipation de la volatilité : la notion de bulle et de parallèles formées par les bandes de Bollinger . Dans la foulée, une nouvelle approche de l’analyse technique est définie : l’ATDMF (1997, Spéculer avec l’analyse technique dynamique. A noter que différents livres anciens traitant de l’ATDMF se négocient, sur le marché de l’occasion, à plus du double du prix proposé à la sortie de l’ouvrage. John Bollinger lui même en 2001, dans son best seller sur les bandes, indique que ces deux figures sont d’un apport fondamental à l’analyse technique).

En 2012, l’ATDMF va encore plus loin en proposant pour le trading intra-horaire deux nouveaux indicateurs d’analyse et d’anticipation de la volatilité.

Pour des raisons déontologiques, ces indicateurs ne sont prêtés aux opérateurs qu’après m’être assuré de leur bonne compréhension et utilisation.

Ces deux indicateurs ATDVOL et ATDPUIS indispensables pour le trading couvrent des domaines d’utilisations qu’aucun autre indicateur ne fournit : puissance, durée de l’amplification de la hausse de la volatilité et nature du mouvement (technique ou tendance de fonds)

L’apprentissage de l’utilisation de nos deux nouveaux indicateurs se fait en moins de deux heures. Cette formation, interactive, ne se fait que pour un seul stagiaire par session afin de s’assurer que la personne formée maitrise complètement l’apport de nos indicateurs.

L’actualité en analyse technique.

La volatilité est et sera de plus en plus à l’ordre du jour. Depuis 1993 les recherches de Philippe Cahen, Ingénieur CNAM, sont principalement axées sur l’anticipation et l’analyse de la volatilité. Dans différentes conférences publiques, sur nos sites, dans différents médias et dans nos ouvrages nous insistons sur le fait que les variations de prix des actifs financiers sont principalement dues à la hausse de la volatilité. Aucun professionnel de la finance n’a remis en cause cette proposition.

Le trading haute fréquence (THF) n’a pas pour principal objet d’augmenter la volatilité mais il y contribue (involontairement dans un premier temps puis volontairement dans une proportion significative depuis quatre à cinq ans). Un autre effet des transactions réalisées par le THF est de diminuer la notion de temps. En quelques années la notion de long terme au sens des investisseurs est passée de 10 ans (1980) à 3 / 4 ans (2000) puis 1 an (2005). Actuellement, plus de 90 % des transactions sont débouclée dans la journée. Autant dire qu’il devient impératif de limiter les interventions sur les marchés au trading intra horaire. D’ici 2 à 3 ans opérer autrement deviendra inconcevable. Les investissements (embauche de mathématiciens / ingénieurs et moyens de communications) réalisés par les principales firmes de THF sont de l’ordre de plusieurs milliards de USD chaque année et concernent l’ensemble de la planète. Les différentes autorités de marchés à travers le monde ne trouvent rien à redire à cette activité (au plus que ce n’est pas moral). Les importants profits réalisés par les firmes de THF se font indépendamment des cycles économiques et avec un niveau de risque extrêmement faible. Il est donc logique d’envisager la prolifération de cette activité. En corolaire la poursuite de la hausse de la volatilité des marchés devient inexorable (depuis un an, il existe aux USA des plateformes de transactions interdites aux THF. Elles se limitent aux actions US et ne représentent que 1 % des transactions observées…)

Autant dire que pour qu’un opérateur puisse espérer réaliser régulièrement des plus values sur des marchés financiers il devient nécessaire de s’adapter à cette nouvelle situation. Il devient impératif de privilégier l’analyse de la volatilité et opérer sur des durées n’excédant pas une heure (pour les deux à trois prochaines années). Les outils d’analyse technique qui permettent de faire du trading intra horaire sont spécifiques. En matière de validité temporelle (au sens du nombre de jours /semaines/mois de la durée d’une prévision), les règles d’utilisation des indicateurs et approches de l’analyse technique sont intangibles : l’utilisation d’un indicateur sur une durée de prévision supérieure à celles en vigueur au moment de la création de l’indicateur permet dans la majorité des cas d’obtenir des bons résultats. La proposition inverse (utilisation sur des durées inférieures) n’est jamais vérifiée. La quasi totalité des indicateurs utilisés actuellement par les analystes techniques datent du début des années 70 (ne parlons pas des approches qui datent du début des années 30 et pour lesquelles il est encore proposé des formations). A l’époque, la durée minimale pour une opération « à court terme » n’était jamais inférieure à quelques mois. Il est donc recommandé de se méfier de ces indicateurs. Pour opérer avec une bonne probabilité de succès, il est donc indispensable d’actualiser les outils et techniques proposés et de se renseigner sur leurs pédigrés. Pour optimiser les performances des opérations en utilisant l’analyse technique, il est nécessaire de se souvenir qu’un objectif en amplitude est un sous-ensemble d’un objectif en durée. Cet aspect n’est pratiquement jamais pris en compte dans le méthodologies d’utilisation de l’analyse technique.

Philippe Cahen et la société ATDMF peuvent vous aider à faire face à ce nouveau contexte et éviter de pérenniser une utilisation obsolète de l’analyse technique.

La quasi totalité des indicateurs , leur technique d’utilisation ainsi que la méthodologie d’utilisation de l’analyse technique ont été revu et sont adaptés régulièrement.

Philippe Cahen a développé de nouveaux indicateurs ATDvol et ATDpuis. Ces deux indicateurs ont pour objet d’anticiper le potentiel de hausse de la volatilité et le moment ou elle va commencer et finir de décaler. Ces indicateurs ne fonctionnent que pour des opérations comprises entre quelques minutes et une heure. Pour réaliser des profits dans ce contexte, l’utilisation de CFD et de contrats futures est requise. Mal maitrisé, le trading peut se traduire par des pertes importantes. Pour cette raison, nos deux indicateurs spécifiques sont indispensables pour opérer avec un risque minime. Ils sont disponibles pour les personnes que nous avons formé. Un seul stagiaire est admis à chaque session. Un stage dure quatre jours et permet de réaliser de nombreux trades. Ceci permet de m’assurer que l’utilisation des indicateurs est parfaitement assimilée. Cette formation de 4 jours vous permettra également de voir si vous êtes réellement prés pour faire de la bourse dans les prochaines années. Si la réponse est négative cela vous aura couté 4 000 € (le prix de la formation) mais c’est dérisoire par rapport à différentes opérations perdantes réalisées suite à des essais erreurs. Nos indicateurs ne sont pas modifiables ni cessibles à un autre ordinateur que celui sur lequel ils ont été importés. Peut-être aussi que, durant une des journée de formation, vous réaliserez + 32 % de votre capital comme l’a fait un stagiaire au début de cette année. Vous pourrez également observer que si toutes les opérations ne sont pas gagnantes, dans la quasi totalité des cas la perte se limite au spread acheteur / vendeur. Selon vos disponibilités, il est prévu de pouvoir opérer selon deux options. La première permet d’être prévenu par un signal sonore lorsqu’une prise de position peut se déclencher dans les deux prochaines minutes. La seconde requiert une liberté plus importante et demande, en permanence, d’analyser votre écran afin de détecter un signal. Chaque formule a ses avantages et ses inconvénients mais permet à de nombreux opérateurs de pouvoir réaliser des opérations de trading.

Si vous souhaitez des renseignements supplémentaires rendez-vous dans la section formations de notre site ou envoyez-nous un message.

Bon courage et à bientôt

 

atdmfcahen@yahoo.fr