Réflexions sur l’analyse technique et ceux qui la propagent.

L’analyse technique peut se définir comme un ensemble de techniques dont l’objet est de permettre de réaliser des plus-values sur les marchés financiers en utilisant les données du passé. Cette approche se veut simple : en observant des figures sur des graphiques de prix ou dérivées des prix (configurations en nombre limitées) il est possible de réaliser un gain en se basant sur des modèles puisque les mêmes causes produisent les mêmes effets (les opérateurs réagissent toujours de la même manière face à une situation donnée).

Un utilisateur cherchera à réaliser un gain supérieur à celui obtenu avec une méthode plutôt qu’avec une autre en éliminant celles qui présentent des erreurs de conceptions ou qui sont devenues obsolètes. Dans la majorité des cas, les démarches proposées aux utilisateurs sont truffées d’erreurs par ignorance ou pour d’autres motifs. Exemple, présentation de l’indicateur croisement de deux moyennes mobiles. C’est l’indicateur technique le plus simple. Son utilisation consiste à observer le croisement d’une moyenne mobile courte et d’une longue. Il est admis que ce croisement génère un signal d’achat ou de vente.  Ceci est indiqué dans la quasi-totalité des ouvrages, sur les sites Internet divers et variés, dans les formations faites aux débutants et dans les analyses présentées par « des experts » en AT. Statistiquement, une suite de croisements ne produit que moins d’une fois sur deux un gain et les pertes sont généralement plus élevées. Ceci n’a rien d’extraordinaire, car les signaux interviennent avec retard par rapport à un changement de tendance. En revanche, si l’on examine ce qui se passe en présence d’un refus de croisement (Non-croisement, méthode ATDMF) entre les deux moyennes, on observe que ce Non-croisement se produit avant un changement de tendance et que dans 90 % des cas, le mouvement qui suit est violent. À croire que les analystes techniques ne s’intéressent pas aux signaux qui provoquent des gains. Que penser d’un enseignant qui oublie la moitié (la plus importante) de la démonstration ? Vous pouvez le vérifier sur n’importe quel produit et sur n’importe quelle unité de temps ! Ainsi, il va être facile de faire du tri, car si un analyste technique n’est pas capable de vous enseigner, sur l’outil le plus simple, la bonne manière de l’utiliser, il faut penser qu’une catastrophe se prépare lorsqu’une idée plus complexe devra être présentée. À se demander si les auto-proclamés analystes techniques ont déjà pratiqué avec du « vrai argent ». Cependant, cette remarque n’est pas la pire : limiter la présentation de l’outil moyenne mobile aux conséquences des croisements est en complète contradiction avec l’objet de l’AT (se contenter de considérer qu’il n’y a que le passé qui puisse aider l’opérateur, pourrait être exact si tous les paramètres restaient figés) Heureusement ; le monde évolue et le passé ne peut donc pas servir de référence pour anticiper l’avenir. En revanche, il est simple d’anticiper les croisements / Non-croisement des moyennes mobiles et donc de transformer cet outil en indicateur d’anticipation et donc de gestion de position. Encore faut-il réfléchir avant de « pomper » ce que d’autres ont publié de bonne foi (la qualité d’un indicateur n’est pas constante dans le temps. L’apparition d’un nouvel indicateur peut permettre d’obtenir des résultats stupéfiants par rapport à ceux utilisés couramment. Par exemple, les résultats obtenus avec les premiers indicateurs de l’AT Vs les techniques utilisées en chartisme).

Par démarche commerciale, on observe des analystes qui publient une partie de leur approche sans en livrer la totalité afin que les opérateurs restent captifs. Le cas le plus célèbre concerne un auteur dont le livre publié vers 1982 reste actuellement un best-seller dans le monde. La réarrivée des bougies en 1992 mérite également d’être mentionnée. Ce qui est navrant pour l’AT. Autre exemple, la présentation du SAR de Wilder. L’important, c’est de l’utiliser sans se soucier de savoir s’il est bien programmé ou pas. Comme il s’agit d’un indicateur de référence lorsque les marchés sont en forte tendance, ce n’est pas neutre. Ceci montre bien la puissance du commercial.

Pour opérer, il convient d’utiliser des indicateurs dits techniques. Faut-il encore qu’ils soient adaptés. Cette question ne semble pas effleurer les coaches, pseudo-auteurs et autres soi-disant enseignants. Le contenu de la majorité des livres traitants de l’AT, reprennent des informations publiées la première fois il y a quarante ans, Ceci signifie que le comportement des marchés reste identique à ce qu’ils étaient à l’époque ! Entre-temps, avec le développement des moyens de communications, le niveau de la volatilité a considérablement augmenté. C’est même devenu le principal facteur de fluctuation des cours (cf la méthode ATDMF).   En ce qui concerne de nombreuses publications, pas grand-chose d’original, mais de nombreuses reprises.  Ceci pourrait vouloir dire que les auteurs expliquaient moins bien leurs approches que ceux qui se sont emparés de leurs biens. Pour moi, une publication ne peut se justifier que si une nouvelle approche est développée. C’est l’usage dans l’ensemble des activités non artistiques. Malheureusement, la majorité des pseudo-auteurs ne publient que pour des raisons commerciales.  Mais, surtout, la question à se poser concerne le bien-fondé de l’analyse technique en soi. L’anticipation des cours est commercialement attractive, mais insuffisante pour profiter des changements de tendances. En effet, deux autres paramètres sont beaucoup plus importants : la durée du mouvement (dont les variations de prix ne sont qu’une résultante) et l’évolution de la volatilité (dont les variations de prix ne sont, également, qu’une résultante). Si on se place en tant que commercial, une analyse basée sur les prix permet de vendre sa salade. Se fixer comme objectif de réaliser une plus-value est plus réaliste.  Cette approche aura pour conséquence de priver les courtiers de « se gaver » en vendant des produits de protection et ne sera donc pas encouragée. Si l’on est investisseur (du trader intra-minute au gestionnaire de fonds) il convient d’utiliser les outils adaptés et de savoir comment les utiliser. De nombreux opérateurs (y compris les pseudos professionnels) se contentent d’utiliser un seul indicateur : la Martingale probablement. La lecture de nombreuses analyses publiées  vous en convaincra en observant qu’à l’aide de cet indicateur il est possible d’entrer ou de sortir d’une position.  J’ai vu sur internet une promotion avec 15 vidéos à acheter portant uniquement sur le RSI et qui promet monts et merveilles… Cet indicateur qui fut un des premiers dans la panoplie des analystes, était parfaitement adapté au comportement des marchés, alors que les cours ne fluctuaient pratiquement pas. Son utilisation a permis de réaliser de nombreuses opérations miraculeuses. Depuis 1990, il n’a plus sa place dans l’arsenal des analystes par suite des changements des conditions de marchés. Généralement, lorsque vous regardez la définition ou les informations sur un indicateur, il n’est pas indiqué dans quelles conditions il doit être utilisé. Ce n’est pas dramatique lorsqu’on fait du commercial, car l’important, c’est de vendre une idée.  Pour pouvoir réaliser des plus-values, il convient de prendre des sécurités (mot inconnu dans le langage de l’analyse technique classique) Dans le processus de décision, sa place se situe entre l’utilisation des indicateurs techniques et le money-management. Les contrôles à l’aide des outils de sécurité doivent être permanent entre la période qui précède la prise de position jusqu’à la sortie de position.  Si le money-management est une constante pour un opérateur, il n’en est pas de même avec la sécurité dont l’état évolue en permanence et qui doit être intégrée à l’analyse des indicateurs. En ATDMF, depuis 2009, les contrôles liés à la sécurité sont intégrés à ceux du comportement des indicateurs dans nos processus de décisions. Prendre position, c’est avoir détecté une information positive particulière dans notre système. Cependant, la sécurité consiste à s’assurer qu’aucune information négative ne soit présente. En présence d’une information négative (qui peut concerner la dynamique, la volatilité ou les indicateurs) au moment de la prise de position, une plus-value potentielle deviendrait absolument impossible (validée dans 100 % des cas sur 10 000 tests). L’apparition d’une information négative pendant une opération implique une sortie de position. Plus l’unité de temps considérée est faible, plus les critères utilisés doivent être restrictifs. (Spécificité pour les opérations d’une durée inférieure à la minute)

En conclusion : pour que l’utilisation de l’analyse technique puisse être rentable, il est nécessaire que l’utilisateur ait effectué un certain nombre de vérifications avant de s’engager dans l’utilisation d’une approche.

Performance trading ATDMF

Vous souhaitez connaitre les performances obtenues en faisant du trading (sur CFD) avec les règles spécifiques de l’ATDMF,

Les résultats récents d’un particulier ayant suivi la formation, sont disponibles en faisant la demande à : cahen.atdmf@yahoo.fr

Analyse technique et bridge : même combat !

Il s’agit de l’analyse technique classique telle quelle est expliquée dans la quasi-totalité des ouvrages et des formations diffusées par différents types de médias par des intermédiaires financiers et de soi-disant experts en analyse technique.

Une preuve irréfutable : supposons que vous soyez l’expert en analyse technique. Vous allez diffuser vos prévisions. En début de matinée/ semaine /mois vous allez joindre vos clients pour leur donner supports et résistances. Comme c’st souvent le cas, les cours vont fluctuer fortement et si vous avez donné des objectifs chiffrés et que ceux-ci sont franchis, il va falloir soit liquider la position (alors que le mouvement va se poursuivre) soit intervenir à nouveau pour donner de nouveaux objectifs. Avec des écarts pouvant dépasser les 10 % en une journée, vous allez importuner vos contacts et rapidement votre crédibilité va être mise à rude épreuve. Il est impératif de transmettre un autre message si vous vous adressez à un professionnel. En revanche, si vous utilisez l’analyse technique pour faire du back trading (rejouer les prises de positions après leur réalisation) ceci devient un jeu plus exaltant que le Monopoly.

Souvent les analyses présentées indiquent, après coup, que vous avez réalisé tel résultat mais rarement vous incitent à prendre position avant le début du mouvement (cf mon blog sur linkedIn pour analyser et comparer mes différentes analyses publiées ou shorter le WTI  le 6 /02/2023 pour profiter de la poursuite / accélération de la baisse des cours durant quelques semaines. En effet, un signal ATDMF (non disponible avec l’AT classique) devrait être validé. Par exemple, il se pourrait que certains pays se décident à puiser dans leurs stocks stratégiques afin de faire baisser durablement les cours.)

L’utilisation d’objectif chiffrés est une approche commode pour se faire plaisir.  Dans ce cas, l’AT doit être comparée à la pratique du bridge. La majorité des bridgeurs sont des « accros » qui cherchent à se perfectionner à l’aide de cours, stages et ouvrages divers et variés. La pratique du bridge reste avant tout un plaisir intellectuel.

Jusqu’à maintenant le fondement de l’analyse technique est : aide pour acheter bas et vendre haut. S’il est permis d’être capitaliste, il y a des limites à respecter. La spéculation n’est pas bien vue et il ne faut donc pas encourager les ventes à découvert. D’un autre point de vue, pour qu’un marché fonctionne, il faut que certains opérateurs assurent une contrepartie. Ils doivent donc pouvoir également utiliser l’analyse technique. Personnellement, je pense que c’est prioritairement à eux qu’elle doit s’adresser.

J’ai maintes fois attiré votre attention sur la stupidité de chercher des objectifs chiffrés au lieu de chercher à anticiper la durée d’un mouvement.  L’analyse de l’évolution récente des cours du contrat du Gaz Naturel (différentes prévisions depuis décembre 2022) permet, par un exemple concret, de mettre « les pieds dans le plat »

Les objectifs chiffrés (je ne parle pas de ceux déterminés à l’aide du chartisme (cousin préhistorique de l’analyse technique) sont directement déduits de l’application, plus ou moins correcte, de la méthode d’Elliott. Avec celle-ci, il est possible de déterminer un objectif en utilisant des ratios compris entre 38 et 168 % d’un mouvement précédent. Cependant, lorsqu’il s’agit d’un mouvement de correction, si l’amplitude du mouvement dépasse 100 % du mouvement précédent, le mouvement de correction en cours devient la tendance principale.  Ceci n’est financièrement et intellectuellement pas acceptable.

Par ailleurs, depuis quelques années, la hausse de la volatilité peut provoquer des décalages de cours de l’ordre de 10 % ou plus durant une journée et pendant plusieurs journées consécutives. Il devient primordial d’optimiser la sortie de position. L’analyse de la volatilité, à l’aide d’indicateurs spécifiques, permet d’y parvenir. Cependant en analyse technique classique, le concept d’analyse de la volatilité ne passionne pas les foules. Pour trouver les outils adaptés, il est possible d’utiliser l’ATDMF dont c’est une spécificité depuis plus de vingt ans.

Si vous souhaitez continuer à rêver, investissez dans l’analyse technique. Mais, si vous voulez réaliser des plus-values réelles, mieux vaut chercher une approche différente (celles et ceux qui ont lu mon anticipation de baisse des cours du NG fin décembre (- 40 %) ne diront pas le contraire : les cours étant passés de 91 à 25 en un peu plus d’un mois)

 

 

Pétroliers, Ponzi, Madoff : même combat ?

avertissement : le texte reste une ébauche d’article

Avez-vous vu le prix actuel du contrat Gaz Naturel et ceux du Brent ou du WTI. Proche de ceux du début 2021. Encore plus fort : l’anticipation de 3 à 6 ou 9 mois de ces cours : chute supplémentaire des prix de plus de 10 % (30 % ?). Ponzi, Madoff et leurs congénères attiraient à eux quelques centaines ou milliers d’individus dans un nombre restreint de pays. Les pétroliers, eux, réaliseraient t’ils des opérations qui concernent des dizaines de millions de personnes au niveau mondial?

Étudie proposition de collaboration.

Bitcoin : Faut bien rigoler !

 

Conservez les analyses publiées récemment sur le net : cela vous fera rigoler d’ici début avril.

L’utilisation des règles de l’ATDMF permet de penser que la probabilité d’observer un ou des non-croisements baissiers sur le stochastique / MACD du graphique mensuel ne doit pas être écartée. Si cet / ces événements se produisent, un renforcement de la tendance baissière à long terme ne pourra pas être évitée.

Les arguments en faveur de notre idée sont les suivants :

Sur le graphique hebdomadaire, la hausse en cours présente une IEN empêchant de qualifier la figure de T2. Donc, le mouvement de hausse en cours devrait être limité.

Sur le graphique trimestriel, la divergence baissière sur le stochastique reste en activité. Par ailleurs, la M23 devrait rester baissière au moins jusqu’en septembre prochain.

Une baisse au-dessous de MW signifiera que la reprise observée depuis courant novembre est terminée.

Un scénario alternatif ne pourra pas être envisagé tant que le MACD mensuel ne sera pas survendu.

Analyse technique + commercial + indépendance

J’ai vu sur le net un analyste technique utiliser des bougies pour représenter un graphique autre que quotidien. Rassurez-vous (si l’on peut dire)  ce n’est pas le seul à utiliser ce type de représentation pour un graphique autre que quotidien.  C’est navrant car l’approche des bougies est réservée à la représentation de graphiques sur une base quotidienne d’un marché organisé (cotations officielles durant un certain nombre d’heures avec un cours d’ouverture et un cours de clôture). Dans  ce type de marché plus de 90 % des positions sont dénouées avant la fin de la séance pour une raison essentielle : frais élevés pour conserver une position overnight du fait de la  frilosité des intermédiaires financiers vis-à-vis du risque encouru : il se passe un certain nombre d’heures pendant lesquelles il est impossible de toucher à la position. Ainsi, les Japonais ont détecté des configurations qu’ils disent reproductibles à partir de l’analyse des bougies. Admettons le bien fondé de cette démarche, même si je suis dubitatif. Ce qui est certain c’est que représenter les graphiques sur des unités de temps différentes revient à considérer que sur un graphique 5 minute, 90 % des positions sont liquidées à la fin de la cinquième minute ou au bout de la soixantième minute sur un graphique horaire. L’absurdité de ce raisonnement est manifeste. A partir du moment où le B A BA de l’analyse technique n’est pas compris, comment faire confiance à ces spécialistes. A l’origine, en 1992, la publication du livre  de Steve Nison sur les bougies avait eu un succès commercial. A l’époque, les ordinateurs n’existaient « presque pas ». Les seules représentations disponibles des cours était la base quotidienne (+ la majorité des marchés étaient organisés). Donc tout était cohérent. A partir de 1994 il en fut autrement avec l’effondrement du coût de stockage de l’information et donc la possibilité de faire une représentation graphique en ligne avec la durée de la prévision. Donc aucune raison de privilégier les représentations quotidiennes puisqu’elles ne sont optimales que pour les anticipations comprises entre trois et six semaines. Mais en analyse technique, le commercial prime sur le scientifique. Il n’y a donc aucune raison d’abandonner ou de limiter l’utilisation des bougies. Cependant tous les scientifiques vous le diront : GARBAGE IN, GARBAGE OUT. Tant qu’il ne sera pas démontré que l’analyse technique échappe à cette règle, les professeurs et experts en analyse technique utilisateurs des bougies resteront,  avant tout, des commerciaux soucieux de leur rémunération. N’étant rattaché à aucune structure, mais ingénieur de formation, il m’est ainsi possible de prendre le recul suffisant pour alerter objectivement les personnes qui se posent des questions.

Philippe Cahen, Ingénieur CNAM.

L’année 2023 se joue t’elle d’ici début février ?

La réponse ATDMF est OUI puisque l’objet de notre approche consiste à anticiper les mouvements à venir (cf nos prévisions récentes d’effondrement des cours du Gaz Naturel par exemple)

Vous avez surement remarqué que sur le graphique du contrat US 10 Y T-Note (celui dont je parle depuis 20 ans dans toutes mes formations et pour lequel j’insiste sur l’importance de regarder l’évolution des graphiques chaque semaine) se pose la question du franchissement / non-croisement des cours avec PM.

Comprendre l’évolution de ce contrat est indispensable pour anticiper l’évolution des taux à long terme US, dans une moindre mesure des taux à 10 ans dans un certain nombre de pays mais également sur les indices des bourses US et surtout pour anticiper le USD sur le Forex (en comparant avec les autres taux à 10 ans)

Bien entendu, il ne s’agit que d’un rappel, les bons professeurs d’analyse technique abordent obligatoirement ce sujet essentiel pendant leurs formations et leurs analyses des marchés (tant au niveau annuel qu’à plus court terme).

En présence d’un non-croisement sur le MACD, un reclassement de type II (ex type III) est probable : dans ce cas une amplification de la baisse des cours est attendue au moins jusqu’à la fin 2023.

Si PM est dépassé, une poursuite du mouvement, pendant plusieurs mois vers MM est anticipée. Tant que ce niveau n’est pas dépassé le mouvement de type parallèles baissières restera privilégié.